Chantal et Jocelyn vers la Turquie

Impéria étape qui ne sera pas inoubliable, la route côtière nous conduit au fil des virages surplombant la mer à MENTON en passant par SAN REMO. Le réservoir est plein, et l’inter marché sera salutaire. La route de Sainte Agnès est toujours aussi belle et tortueuse, mais elle nous mène chez Pierrot et Michèle au Chalet KATTY. Ils nous attendent et les retrouvailles sont émouvantes nous ne sommes pas venus depuis 2003. L'accueil est comme à l'habitude très chale

 

 

 

ureux. 

 

 

Rien d'intéressant si ce n'est l'autoroute monotone et pour finir enfin une petite route de montagne qui nous rafraichit.

 

Départ du camping pour RIEKA, dernière ville de Croatie avant la frontière Slovène. Nous prenons comme à l'habitude la route côtière, mais après quelques km la pluie nous rattrape et ne nous lâche plus. Les automobilistes sont prudents et peu pressés, nous n'en croisons que très peu. La pluie ne suffisant pas, nous pénétrons dans le nuage, le soleil n'est pas loin et nous honore au hasard de quelques détours de quelques paysages étonnants. Nous faisons le plein de Gasoil avant l’Italie et pénétrons en Slovénie après le déjeuner. Le pays est vert et mériterait que l'on s'y arrête  et attarde. L’Italie, autoroute direction Venise et arrêt à  JESOLO, peu de camping abordable, nous choisissons un auto camp à 8€ .  

Départ de SPLIT sous la pluie battante, en effet un orage s'est invité ce matin. La route est vite trouvée et nous longeons la mer pendant de nombreux kilomètres , c'est toujours splendide malgré la noirceur du ciel. Nous retrouvons bien les paysages rencontrés lors de notre venue en 2003. au détour de chaque virage la mer adriatique nous offre la,limpidité de ses eaux et la beauté de ses rivages. Puis l'heure du repas nous appelle et nous stoppons près d'un petit port. Repus nous nous dirigeons alors ZADAR, ou nous entreprenons une visite de la ville historique. Les vielles pierres romaines et les colonnades se marient avec les églises, et autres clochers très ouvragés. L'influence italienne sur la région ayant laissé des traces, nous craquons pour une « gélatti » . L'objectif de la journée étant atteint en terme de distance, nous nous arrêtons dans un autocamp, déjà fréquenté en 2003. ce dernier est presque vide mis à part à quelques Slovène attablés sous un auvent et  marchant au Chnapsss. Nous dînons au resto du camp,

poisson et calamars frits.